Candle - Oneness

LE CHRIST POUR LES DÉBUTANTS: Devenant conscient de la présence de Dieu en toutes choses

Last updated: novembre 1st, 2018

Né dans une famille juive réformée et grandi dans une banlieue de St. Louis dans les années 50, mon premier souvenir lié au Christ était ma conscience naissante, à l'école primaire: "C'est le mot qu'on ne dit pas." En fait, le mot était probablement plus verboten que "fuck". En cinquième année, j'utilisais généreusement le dernier, sans la moindre idée de sa signification. Tandis que, comme plusieurs enfants juifs exigés de porter une cape rouge et participer dans une programme scolaire de chants de Noël, j'ai refusé, selon la tradition des Maccabées d'autrefois, de me prosterner devant une idole étrangère, et de prononcer le nom interdit.

C'est difficile d'exprimer comment même notre communauté juive assimilée était éloignée psychologiquement du monde chrétien autour de nous dans la soupe de la culture américaine. C'est possible que le negatif "Nous ne croyons pas en Christ" fût même primaire au "Nous croyons en Dieu." Je n'ai jamais rencontré quelqu'un de ma congrégation, peut-être en dehors d'un rabbin âgé qui a pris sa retraite quand j'étais un petit garçon, qui, à mon avis, connaissait Dieu. Les mots sur des sujets spirituels que j'entendais me semblaient toujours comme un article de voyage par un auteur qui n'avait pas visité le pays.

De l'autre côté, mes aînés étaient souvent très animés dans leurs admonestations négatives sur le christianisme. Mon professeur d'école religieuse préféré nous régalions régulièrement de sa croyance fervente que Jésus n'a jamais existé. Et s'il a existé, il avait été en fait Rabbi Hillel.

Une fois, à l'école religieuse, notre classe a visité une église baptiste. Une fois que je suis entré, je me suis senti comme si je devais me protéger de "la contamination." La petite piscine dans l'église sentait le chlore et la sainteté. Les bancs et les radiateurs sentaient comme une vestiaire scolaire. Une odeur de bougies, que j'ai identifié à la piété, pénétrait les églises catholiques et épiscopales que ma famille a visité pour, respectivement, un mariage et un sermon interconfessionnel par notre rabbin.

La banlieue où j'habitais, University City, Missouri, était connue comme "U. City." Parfois les Wags le transformait en "Ville des Juifs" qui décrivait environ 90 pourcent de notre population. Grandir était une mélange curieuse d'être une minorité nationale et une majorité locale. Je n'ai jamais connu de l'antisémitisme extrême comme celui de mon père quand, comme garçon, il a voyagé avec sa famille à une station de la cambrousse où ils ont trouvé un panneau qui disait "PAS DE CHIENS NI DE JUIFS." En comparaison, la seule dose que j'avais jamais recontrée était homéopathique. Une été où un ami et moi étions cadets de golf, j'ai demandé à deux collègues où ils avaient été. Un d'eux a indiqué au resto de club et a répondu avec un ricanement, "On mangeait du jambon!"

2.

Dans le système fermé de mon éducation, pas beaucoup pouvait changer. Cependant, partir à l'université à Northwestern University, 300 miles des yeux attentifs de mes parents, a fourni pratiquement des possibilités illimitées. Et en 1966, celui était plus vrai que d'habitude.

Je ne cherchais pas consciemment quelque chose de religieux. Le mot "spirituel", je l'utiliserais rarement. Des nouvelles valeurs se sont forées dans moi, comme des charançons, au début utilisant l'entrée la plus accessible, l'expérience assez traumatique d'avoir être tabassé des gardiens de sécurité du campus. Cet événement s'est produit pendant la semaine des élections du gouvernement étudiant. J'ai fini par monter une grande roche au campus, tenant une mégaphone et racontant mon histoire à une foule. J'ai obtenu une nouvelle identité, celle d'un radical.

Mais même avant ça, pendant l'hiver de mon année freshman solitaire, un événement séminal spirituel s'est produit de ma vie. Un weekend j'ai accompagné mon colocataire à la maison de ses parents dans les banlieues de Chicago pour étudier pour des examens finals. Le samedi soir on a pris une pause et regardé le film "King of Kings" sur la télé. C'était vraiment ma première expérience du Jésus interdit, qui avait paru à distance être un personnage blanc et pâteux avec l'odeur de la piété comme des églises catholiques. Dans le film, Jésus était gentil et aimant. J'ai souhaité d'avoir quelqu'un comme ça de ma vie.

Après être revenu au dortoir j'ai écrit à mon rabbin, demandant comment notre peuple pouvions rejeter un homme si attentionné et compatissant. Comme réponse, il m'a envoyé une copie d'un sermon qu'il avait prononcé lorsque "King of Kings" était initialement sorti. J'ai essayé de le lire, mais le texte hautement intellectualisé n'était pas compréhensible à moi. Je me suis retrouvé avec l'image disparaissante du gentil Jésus, vêtu d'une robe blanche. Pendant la semaine de relâche j'ai mentionné le film à mon père. "C'est un conte de fées!" il a répondu avec du mépris.

3.

J'ai regardé "King of Kings" à la fin de l'hiver de 1967. Pas beaucoup plus après ça, j'ai commencé sérieusement de m'impliquer aux "années soixante", débutant avec l'expérience radicalisante susmentionnée. Après un ou deux ans, j'avais complété ma phase politique, perdu ma virginité puis - six mois après ça - ma copine qui j'aimais profondément; pris du LSD; été expulsé de mon université; aidé à développer une commune utopique; souffert une dépression nerveuse sévère nervous breakdown; était prescrit des pilules antidépresseur, celles réservées pour les pires cas; et finalement, eu une vraie expérience mystique. C'était la première "terre solide métaphysique" que j'avais jamais touché.

Avatar Meher Baba
Avatar Meher Baba (avatarmeherbaba.org)

L'expérience touchait un figure spirituel indien, nommé Meher Baba. Mon ami m'a montré sa foto, disant que Baba prétendait d'être l'actuel Avatar, un mot synonyme de Christ ou Buddha. Mon ami m'a expliqué aussi que Baba avait dit que ce figure Avatar retourne à la terre chaque 700 à 1,400 ans; et que dans l'histoire enregistrée il était venu comme Zoroaster, Rama, Krishna, Buddha, Jésus, et Mohammed. Ensuite il a ajouté que Meher Baba avait décédé deux ans plus tôt, en janvier, 1969.

Absorbant toute cette information, ça semblait logique de demander, "Où est-il maintenant?" et ces mots ont paru spontanément sur les lèvres. Mon ami a souri, mais n'a pas parlé. Pendant que j'attendais sa réponse, j'ai senti quelque chose en changeant dans la salle. Un voile de séparation qui avait toujours filtré ma perception se dissolvait. Soudainement j'apercevais tout - comprenant moi-même - comme un aspect d'Un Amour. Cet Amour, clairement, était ce que les sages depuis des temps immémoriaux avaient voulu dire lorsqu'ils utilisaient le mot Dieu.

4.

Après cette expérience, j'ai accepté Jésus comme un Avatar précédent. La rapport maître-disciple, très vital au christianisme, était quelque chose que je pouvais à présent comprendre dans mon expérience personnelle. Les écritures de Meher Baba, dans lesquels je me suis immédiatement plongé, expliquent davantage cette relation.

Je ne savais toujours rien de la vie de Jésus-Christ, au-delà de "King of Kings". Lisant le magnifique livre de Kahlil Gibran, Jesus, Son of Man, a réimprégné l'histoire dans mon esprit. Il a cependant fallu plusieurs années avant que je me sentais prêt à parcourir le Nouveau Testament lui-même.

Quand je l'ai enfin fait, j'ai été stupéfait ! Jésus n'avait rien de pâteux ! Il était parfois doux, mais il était aussi un lion. Et par-dessus tout, c'était un poète ! J'ai été stupéfait par la puissance des mots en rouge dans la Bible : "Des rivières d'eau vive jailliront de ton coeur !" "Tous les secrets seront criés sur les toits !" "Vous êtes comme des sépulcres blanchis, que les hommes foulent sans le savoir !" "Si ton œil devient en bon état, tout ton corps sera rempli de lumière !" Les miracles - ces mots eux-mêmes étaient des miracles ! "Le Ciel et la Terre passeront, mais Mes paroles ne passeront pas."

Meher Baba a même expliqué les miracles physiques accomplis par Jésus. Il y a "des ordres supérieurs dans le panorama spirituel", écrivait-il. Ce qui semble être un "miracle" pour quelqu'un qui a une conscience brute, est tout à fait naturel pour quelqu'un qui fonctionne à partir des royaumes intérieurs et subtils de l'énergie. Baba et Jésus ont tous deux dit, en outre, que le seul miracle qui vaille vraiment la peine est de réveiller un cœur endormi.

J'ai également été enthousiasmé par les Actes des Apôtres. Dans d'autres lectures, j'ai également appris que ni la relation Maître/Disciple ni le mysticisme n'étaient étrangers au judaïsme. Tous deux ont été incarnés par des personnages tels que le Baal Shem Tov ("Maître du Bon Nom"), qui a vécu en Pologne au 18e siècle, et ses disciples.

5.

Un jour du printemps 1976, de retour à Saint-Louis après plusieurs années passées dans d'autres régions du pays, je suis entré dans un nouveau petit magasin d'aliments naturels dans le quartier "bohème" de la ville, le Central West End. Le propriétaire qui se tenait derrière le comptoir était un jeune homme que j'avais connu au lycée et que j'avais vu pour la dernière fois cinq ans auparavant.

À l'époque, je travaillais dans le premier restaurant d'aliments naturels de la ville. Ce type, qui s'appelait Phil, était arrivé un jour avec un gros sac de cerises biologiques et m'avait demandé d'en faire un jus. Je n'avais pas connu Phil personnellement au lycée, mais il avait été l'un de ces personnages notoires que tout le monde connaissait. Il avait la réputation d'être "dur". Au moment où il a apporté les cerises, il semblait plus troublé que dur. "J'espère que ce jus de cerise va m'aider à adoucir mon mauvais karma", m'a-t-il dit pendant que je les mettais dans ma grosse centrifugeuse commerciale.Aujourd'hui, cinq ans plus tard, il se tenait devant moi, fort et viril. De toute évidence, il avait trouvé quelque chose pour améliorer sa vie. Le magasin avait l'atmosphère la plus pure que j'avais trouvée dans toute la ville ! J'en ai pris note parce que, bien que je sois un disciple de Meher Baba (un "Baba lover", comme on les appelle), il n'y avait pas encore de groupe Meher Baba à St Louis, et je désirais ardemment un compagnon spirituel. "Êtes-vous relié à un groupe spirituel ?" ai-je demandé à Phil.

Il a semblé un peu surpris par la question, mais il a hoché la tête et a dit : "Venez par ici et je vais vous montrer quelque chose." J'ai contourné l'extrémité du comptoir jusqu'à ce que je me tienne à côté de lui, derrière. Il m'a montré du doigt le mur intérieur du comptoir, à côté de la caisse enregistreuse. J'y ai vu une photo sépia de quelqu'un. En regardant de plus près, j'ai reconnu qu'il s'agissait de Jésus. Cela ressemblait presque à une photo.

Alors que je regardais, la photographie a commencé à briller très intensément. "Wow!" J'ai dit. "Ca brille!" Quel est le groupe auquel vous appartenez?

"Ça s'appelle le Saint Ordre des MANS", dit Phil. C'est un groupe qui essaie de pratiquer les anciens mystères du christianisme dans leur forme originale.

"Hmmmm. Qu'est-ce que ça veut dire, MANS?" J'ai demandé.

"C'est un acronyme. Quand vous atteignez un certain degré d'initiation, on vous dit ce que les lettres signifient réellement."

"Où rassemblez-vous?" J'ai demandé, sentant une forte intuition, "J'aimerais visiter".

"Nous avons une communauté chrétienne qui se réunit le dimanche. Il y a quatre sœurs qui vivent ensemble dans une maison du côté sud. Vous êtes bienvenus quand vous le souhaitez."

6.

Je me suis donc embarqué dans ma prochaine "aventure avec le Christ". Il s'est avéré que j'avais déjà eu des contacts avec le Saint Ordre des MANS. Ce printemps-là, j'avais commencé à voir des couples de belles jeunes femmes, portant chacune une tunique ou un habit bleu ciel, marcher ensemble dans la ville. Je les voyais même dans les quartiers les plus difficiles. Elles ne faisaient pas de prosélytisme, elles marchaient simplement, souriant naturellement aux gens, ayant l'air détendu et heureux. Je me suis senti instantanément inspiré par ces charmantes dames qui semblaient personnifier le ciel, comme un aspect féminin de celui-ci, et le ramener sur terre.

Lorsque je suis arrivé à la Maison des Sœurs ce dimanche-là, j'ai trouvé ces femmes en bleu ciel qui me souriaient lorsque je me suis présenté. Un peu plus tard, nous sommes entrées dans la salle de la chapelle et l'une d'elles a dirigé le service de communion. Je pouvais sentir les prières allant au Dieu vivant, que j'avais personnellement "rencontré" en tant que Meher Baba, mais que je savais être au-delà du nom et de la forme. Après le service, nous avons grignoté et socialisé, et j'ai senti que je serais toujours ami avec ces belles et chères femmes. J'ai senti que la plupart des autres membres de la communauté étaient aussi - tout comme moi - des hippies dont la vie avait pris une direction spirituelle.

Pendant les trois années suivantes, j'ai apprécié mon adhésion informelle à la Communauté. J'ai même eu une vision de Meher Baba, une fois pendant un service. Sœur Rose lisait un passage de la Bible qui racontait que Jésus avait dit : "Détruisez ce temple et je le reconstruirai dans trois jours." Elle montra son corps et dit : "C'est ton temple". Et pendant un instant, mais avec une clarté éclatante, j'ai vu non pas sa tête sur ses épaules, mais celle de Meher Baba, un homme d'environ trente-cinq ans, au sommet de sa beauté physique et de sa puissance.

Pendant un temps, j'ai vécu dans une maison coopérative avec plusieurs autres membres, malgré les objections d'un résident qui voulait que tout le monde soit "chrétien pur". Les autres pensaient que je m'intégrerais très bien parce que je reconnaissais Dieu comme Un. J'avais aussi en commun avec eux la reconnaissance des Avatars de Dieu dans l'histoire humaine. Bien que mes compagnons de maison n'aient pas nécessairement reconnu Meher Baba comme un Avatar, ils l'honoraient comme un saint homme.

Lors d'une autre occasion mémorable, un groupe local a capella gospel est venu à la maison des sœurs et a donné un concert improvisé. C'est ce jour-là que j'ai vraiment appris ce que signifie l'expression "soulever le toit"!

Jesus Christ on the cross
Jesus Christ on the cross (image: fitzfotos)

7.

Il y a une autre "expérience" avec Jésus, qui est si intime que je ne l'ai jamais partagé publiquement auparavant. Une fois, pendant une période très difficile de ma vie, j'ai été stupéfait de voir une lumière projetée de mes propres yeux sur le mur en face de l'endroit où je me reposais dans mon lit, comme un faisceau de projection dans une salle de cinéma. Et j'ai regardé le "film" qui est alors apparu sur le mur venant des profondeurs de mon être:

Un jeune homme et une jeune femme, vivant dans le désert et portant les robes des temps anciens, sont amoureux et fiancés. Un jour, ils marchent vers le puits, la jeune femme tenant en équilibre un grand récipient en terre sur sa tête. Soudainement, de l'autre côté de la colline, arrive un homme vêtu d'une robe blanche et d'une sorte de foulard rouge. Il leur fait signe en silence: "Suivez-moi."

La jeune femme court immédiatement pour le suivre, où qu'il la mène. Le jeune homme, au contraire, fait un pas, puis hésite et revient en arrière... refait le pas, puis hésite à nouveau... et recommence plusieurs fois, incapable de se libérer de son indécision, jusqu'à ce que le "film" s'éteigne complètement.

Qu'est-ce que je peux dire à propos de ça ? Est-ce la folie ? Je n'avais pas, et n'ai pas, l'impression que ça l'était. J'ai pensé que j'étais le jeune homme d'une vie antérieure, à l'époque de Jésus, incapable de "tout quitter et de le suivre." Je crois que Dieu m'a montré cela afin de m'aider cette fois-ci.

Bien sûr, je ne peux pas le prouver. C'est simplement une intuition. Meher Baba dit que la "doctrine de la réincarnation" est vraie, et que certains des Pères chrétiens y croyaient aussi, jusqu'à ce qu'elle soit officiellement retirée du christianisme lors du cinquième concile œcuménique en 553 après Jésus-Christ.

Au cours des quelque trente années qui se sont écoulées depuis, cette expérience m'est souvent revenue à l'esprit et, bien que je ne puisse pas dire qu'elle ait complètement remédié à mon vacillation caractéristique, je crois qu'elle m'a effectivement aidé. L'expérience était porteuse d'une énorme autorité. Je crois même savoir qui est mon ancien amour, cette fois-ci.

8.

Mes parents sont tous les deux partis maintenant, et le Saint Ordre des MANS aussi. J'ai appris il y a plusieurs années qu'il a finalement été absorbé par l'Église orthodoxe grecque.

Mais il y a une autre expérience que j'aimerais partager, une expérience qui témoigne de la ténacité de l'abrasivité historique du karma judéo-chrétien.

Pendant ma période du Saint Ordre des MANS, je ne pouvais pas m'empêcher de citer parfois les puissantes paroles de Jésus (comme je citais Meher Baba ou Sri Ramakrishna ou Richard Alpert/Ram Dass), même à ma famille, lorsque je sentais qu'elles étaient pertinentes pour une situation donnée. Maman a fini par me demander un jour: "Pourquoi parles-tu tant de Jésus ?". J'ai répondu: "Maman, sa vie et ses paroles sont l'incarnation inégalable de la vérité universelle!"

C'était alors que j'ai vu quelque chose de profond. Ma mère est devenue blanche de rage et de résistance. Sa peau est devenue d'un blanc que je n'avais jamais vu sur un être humain avant ou depuis. "Comment peux-tu?" a-t-elle demandé. J'avais l'impression de voir apparaître ses propres vies passées, des vies tellement traumatisées par des siècles de persécution qu'il était impossible de poursuivre une conversation rationnelle sur ce sujet. Au fur et à mesure que sa vie avançait, maman a fini par être bien disposée à l'égard de Meher Baba, et même par sentir qu'elle faisait partie de la famille Baba mondiale, parce que son fils en faisait partie. Mais elle n'était pas capable de s'étirer autant qu'il le faudrait pour dépasser la charge émotionnelle de sa réponse conditionnée à l'Avatar Jésus.

Par contre, j'ai été capable, par la grâce de Dieu, de transcender la réaction effrayée de ce petit garçon de Saint-Louis qui chantait sur les lèvres le mot "Christ" dans les chants de Noël de l'école. Je suis capable, je l'espère, d'honorer Dieu dans tous les chemins spirituels qui mènent à Lui. Et je continue à travailler sur moi-même, pour être un jour capable de Le voir en tout et chacun, point final.

image 1 : axinia+ (Creative Commons – BY-ND)
  1. Thanks for sharing your insights. It’s so helpful to hear about people’s experiences and what guides them along the path. I especially appreciated the behind the scenes look into the religion you were born into.

    So thank you for making that leap, as unpopular a choice as it would have been for someone in your situation, to come to the truth.

  2. Max ~ I can really relate to your story as on my mother’s side I came from a similar background with similar attitudes towards Jesus and found myself as an adolescent seeking Jesus very directly especially from reading his words in the Gospels. Of course in later years knowing Meher Baba made my relationship with Jesus even easier, more direct, and more profound. Thank you for sharing this. Jai Meher Baba ! Talat

  3. Max, I loved reading your story. Thank you. I ran into someone after dark last night across from Meher Canter and he told me of his mystical experiences by which he was led to Baba. I was grateful and affected. When I woke up I was still thinking of what he shared. I also shared with him. Now I’ve read your piece. I look forward to hearing from others on how It Happened for them, that is, coming into Baba’s contact. l

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